De la douleur et de la souffrance à la qualité de vie du patient
J. Boula. Soins, (January 2004)Texte tiré d’une intervention
dans le cadre des journées
Santé et qualité de vie, organisées
par l’Institut de soins
infirmiers supérieurs (ISIS),
les 9 et 10 octobre 2003, à
Genève, Suisse..
Abstract
S’agissant de la santé, l’expression “qualité de vie” serait un pur
pléonasme si nous
ne la rapportions pas aux dimensions qui, fondamentalement, la constituent,
à savoir
les dimensions biologique, psychologique, sociale et métaphysique.
La vie est
un “tout”, et aucune de ses composantes ne saurait se passer du besoin
de qualité.
Les soignants doivent prendre soin des malades au-delà du seul aspect
biomédical,
et intégrer la qualité de vie dans ce “prendre soin”, en s’adossant
au biologique.
Texte tiré d’une intervention
dans le cadre des journées
Santé et qualité de vie, organisées
par l’Institut de soins
infirmiers supérieurs (ISIS),
les 9 et 10 octobre 2003, à
Genève, Suisse.
%0 Journal Article
%1 Boula2004
%A Boula, Jean-Gilles
%D 2004
%J Soins
%K douleur impuissance qualité-de-vie santé soin souffrance
%N 682
%P 30-31
%T De la douleur et de la souffrance à la qualité de vie du patient
%U http://www.gfmer.ch/Presentations_Fr/Pdf/Douleur_boula.pdf
%X S’agissant de la santé, l’expression “qualité de vie” serait un pur
pléonasme si nous
ne la rapportions pas aux dimensions qui, fondamentalement, la constituent,
à savoir
les dimensions biologique, psychologique, sociale et métaphysique.
La vie est
un “tout”, et aucune de ses composantes ne saurait se passer du besoin
de qualité.
Les soignants doivent prendre soin des malades au-delà du seul aspect
biomédical,
et intégrer la qualité de vie dans ce “prendre soin”, en s’adossant
au biologique.
@article{Boula2004,
abstract = {S’agissant de la santé, l’expression “qualité de vie” serait un pur
pléonasme si nous
ne la rapportions pas aux dimensions qui, fondamentalement, la constituent,
à savoir
les dimensions biologique, psychologique, sociale et métaphysique.
La vie est
un “tout”, et aucune de ses composantes ne saurait se passer du besoin
de qualité.
Les soignants doivent prendre soin des malades au-delà du seul aspect
biomédical,
et intégrer la qualité de vie dans ce “prendre soin”, en s’adossant
au biologique.},
added-at = {2009-03-18T09:00:45.000+0100},
author = {Boula, Jean-Gilles},
biburl = {https://www.bibsonomy.org/bibtex/294b84023db686958b22fd1e74821dd6e/cdifsinarbonne},
interhash = {180c1badc6705136c47851f76b79d699},
intrahash = {94b84023db686958b22fd1e74821dd6e},
journal = {Soins},
keywords = {douleur impuissance qualité-de-vie santé soin souffrance},
month = {janvier/février 2004},
note = {Texte tiré d’une intervention
dans le cadre des journées
Santé et qualité de vie, organisées
par l’Institut de soins
infirmiers supérieurs (ISIS),
les 9 et 10 octobre 2003, à
Genève, Suisse.},
number = 682,
owner = {C881240},
pages = {30-31},
timestamp = {2011-10-05T08:39:33.000+0200},
title = {De la douleur et de la souffrance à la qualité de vie du patient},
url = {http://www.gfmer.ch/Presentations_Fr/Pdf/Douleur_boula.pdf},
year = 2004
}