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The Bottom Billion

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Oxford University Press, Oxford, (2007)

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  • @david_rowthorn
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  • @elenamgg
    10 years ago
    Paul Collier, né le 23 avril 1949, est le Professeur d'Économie et le Directeur du Centre de l'Étude d'Économies africaines à l'Université d'Oxford. Il a précédemment été comme Directeur du Groupe de Recherche développement à la Banque mondiale (1998-2003), le Conseiller Senior à la Commission de l'ancien Premier ministre Blair sur l'Afrique, le Professeur l'Associé d'Université du Centre de l'Auvergne d'Etudes et de Recherches sur développement international) (CERDI) et le Chercheur attaché à l'université au Centre de la Recherche de Politique économique (CEPR). Collier est un spécialiste dans les situations fâcheuses politiques, économiques et liées au développement de pays pauvres Sa recherche passée et actuelle s'est concentrée en adressage de défis liés au développement faisant face aux pays à bas revenus incluant la recherche sur l'économie de conflit, la gouvernance et la macroéconomie avec un accent fort des effets d'aide, le Taux de change et des politiques commerciales. Son dernier livre The Bottom Billion (2007) rassemble une grande partie de sa recherche passée et vise à fournir des solutions concrètes de la réponse à la situation critique des citoyens les plus pauvres du monde. Rechercher autour des questions qui concernent le développement international non suppose seulement une analyse par lui même complexe, en plus pointer l'attention sur les pays en voie de développement et sur une plus grande mesure sur ceux-là catalogués par l'auteur comme "Déroulements Manqués", c'est une tâche hautement exigeante que bien on pourrait trouvés comme des sujets traités par le G-8 et de beaucoup d'autres organisations internationales comme la Banque mondiale et le FMI, encore les dites questions s'éloignent d'être compris dans sa totalité et beaucoup moins d’être solucionables. Le objetif de l'auteur avec ce livre vraiment intéressant est de trouver quels sont les problèmes fondamentaux qu'ils peinent à ces pays appelés comme Club de la Misère, en donnant un titre à son livre; (les 58 plus pauvres pays du monde ou les milliards des plus pauvres personnes du monde) et qui leur a malheureusement compliqué améliorer la qualité de vie de ses habitants: le développement économique, social, culturel, lié à une planification urbaine focalisée dans des infrastructures qu'ils poussaient le développement nu; pour cela, il est soutenu sur un grand nombre d'articles spécialisés publiés dans des revues professionnelles, en plus d'une ample base de données utilisées pour des analyses statistiques. Le Club de la Misère est structuré dans cinq parties, où il a approfondit dans les problématiques possibles qu'il englobe comme origine du déséquilibre de ces 58 pays. Dans la première partie du livre on définit les problématiques, les difficultés et les caractéristiques des plus pauvres pays du monde depuis la perspective de la croissance économique; d’aprés moi, cette description initiale du problème la réalise depuis une vision purement basée sur le développement économique, ainsi, nous pourrions structurer la critique dont le développement doit se poser depuis toutes les perspectives possibles, et non exclusivement économiquement. Cette vision plus agrandie d'abordage aux sociétés doit être combinée par les niveaux de lecture de la Ville. Ainsi, depuis le niveau formel et technique, en planifiant les ressources pour héberger des infrastructures; social, puisque les relations sociales définissent l'espace d‘actuation et symbolique, la représentation iconique laisse entrevoir le niveau de développement et l'importance culturelle présente entre cette société. Dans la deuxième partie, dénommée des " Pièges", l'auteur propose et explique quatre difficultés qui touchent aux pays appartenant au Club de la Misère et que limite le processus de développement et de croissance jusqu'à inclus de stagner son économie, nous voyons comment il fait front depuis une perspective unique, comme en avant, économique: a) Le piège du conflit, il sera à partir des problématiques de guerre le motif avec lequel nous pourrons définir à un pays comme développé ou non; on pourrait dire que ce serait justement l'opposé au concept de ‘Global city’. b) Le piège des ressources naturelles, dans cette partie il argue que les pays avec plus de ressources disponibles peuvent se convertir en plus pauvres s'ils les explosent d'une manière irraisonnable, comme nous savons il y a une corrélation directe entre la pauvreté et un monde rural, tel, arrivés au point de ressources insuffisants nous parlerions d'une ville / état appauvrie. Autre fois, cette association vient liée à une mobilisation rapide urbaine et un développement rapide de la mobilité de ses citoyens. c) Sans la sortie à la mer et avec des concitoyens mauvais, il expose comment la combinaison de ressources faibles, le manque de la sortie à la mer (une grande importance du marché dans les villes, la relation entre des proches villes, et plus dans un continent comme l'africain, où les villes sont construites autour du terrain littoral) et des voisins sans opportunité de croissance ou sans la capacité de mettre à profit des peu d'opportunités de la ville il condamne au pays à une voie de morte. d) Le mauvais gouvernement dans un petit pays, cela a été qualifié à travers d'une analyse statistique que Collier a réalisée, pour évaluer la qualité de gouvernabilité et de ses politiques au bénéfice du citoyen, pour cela il recourt à l'indice d'évaluation politique et institutionnelle des pays. Toutes ces ‘Pièges' nous pouvons les expliquer comme causalité: dans ces moyens ruraux, où les ressources naturelles existantes sont exploitées dans un excès dans les villes, où il gouverne la pauvreté et malgré elle, les nécessités de la population ne coïncident pas avec l'infrastructure, on promeut la démocratie plus participative et moins représentative qu'il permetra d'entendre de la nécessité régnante de développement et d'une conservation du environnement, ainsi que de soigner de ne pas continuer de l'abîmer. Le rôle qui prend l'environnement, dans le fait de s'écouler du développement et de la planification urbaine est primordial pour pouvoir appliquer les trois changements exigés: ne pas délimiter la ville, la ville est incluse dans un cadre illimité d'espace; et un mode de vie basé dans politiques de la consommation qui permettent un développement durable près de la décentralisation et la redistribution de ces ressources, pour qu'ils soient accessibles à toute la population Les argumentations à ces "pièges" seront décrites dans le dernier chapitre, dans lequel il inclura un Plan d'Action pour aborder chacune d'elles. Dans le cas de le “piège du conflit" il présente deux domaines d'intervention : l'après-guerre et le travail préventif de guerre; dans le piège des ressources naturelle, Collier considérera que c'est une erreur leur offrir des aides financières, en étant les lois et réglementations l'outil principal de correction; dans le piège sans la sortie à la mer et le malin voisin", l'auteur reconnaît qu'un instrument assez puissant n'existe pas comme pour creuser la dite le piège et que, pour pouvoir lutter avec celle-ci, l'aide financière est nécessaire, où ses voisins doivent reconnaître et mettre les opportunités à profit dans “le piège du mauvais gouvernement" des protagonistes sont les normes et statuts nationaux et internationaux disposés par l'auteur, qui d'une manière factuelle lieront les pratiques communes de corruption, en admonestant les gouvernements mauvais qui donnent une fonction opposée aux instruments octroyés. La troisième partie, “Une parenthèse: la globalisation au sauvetage?”, elle est constituée par un article: la marginalisation du Club de la Misère dans l'économie mondiale, remarque que la globalisation impacte aux pays dans une voie de développement au moyen de trois processus: le commerce des marchandises, les flux de capitaux et la migration de personnes, où le commerce mondial est une arme de risque pour ces pays, si bien qu’avec de fortes mesures et accords commerciaux correctement spécifiés ils pourraient sortir de sa situation, pourraient plus les enfoncer aussi dans le piège des ressources naturelles sous les fortes pressions de nouveaux acteurs sur le marché international. La quatrième partie, “Les Instruments”, est constitué par quatre articles: a) L'Aide au sauvatage?, dans lequel on marque que l'aide économique bien que nécessaire, ce ne soit pas suffisant, en étant très peu probable que celle-ci par si seule sert à affronter les problèmes du Club de la Misère; b) L'Intervention Militaire : elle constitue un facteur d'importance vitale pour la récupération des déroulements manqués, maintenance de la paix durant les après-guerres; et la prévention de coups d'État où cela devra être bon marché, ferme et soutenu; c) Des lois et des Réglementations : elle propose le changement dans la législation occidentale, et la modification de normes internationales, dont la promulgation aiderait à rediriger les comportements dans le Club de la Misère; d) La politique commerciale comme remède contre la marginalisation (1): "Qu'est-ce que dire du protectionnisme commercial de la part des pays du club de la misère? Ses économies sont minuscules, et sont attachées à un pieu, donc il sert à rien de se concentrer sur le marché intérieur, qui est le seul motif de sa protection (…) À une échelle globale nous savons déjà que la chose unique qui pousse la productivité dans le secteur manufacturier est la concurrence, cependant les pays du Club de la Misère n'ont jamais joui de cette concurrence puisqu'ils étaient protégés par des barrières commerciales nationales". Ainsi, autour de l'influence générale de perspectives (économique, politique, social, culturel, urbain, des relations internationales…) se construisent les villes, les pays et les continents. Les centres sociaux - urbains se manifestent comme les icônes publicitaires qui émanent toute idée de ce que les villes se sont converties à un centre d'intégration totale, de développement économique sans des limites et d'une concurrance entre des cités. Ce sera cette capture lente d'importance où il(elle) doit s'exercer pour modifier la causalité projetée, pour répondre à la question de si les lois de planification urbaine appuient aux nécessités des personnes les plus défavorisées et vulnérables, ou si au contraire, elles promeuvent la brèche entre les élites politiques et économiques. (1) Fox S. On the Origins and Consequences of Slums. Development Studies Institute, London School of Economics and Political Science. http://www.csae.ox.ac.uk/conferences/2008-edia/papers/155-fox.pdf
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